

Maîtriser l’avenir grâce à une gestion financière responsable
Nous serons responsables de l’argent public et non gestionnaires de sommes à dépenser.
Nos atouts : une situation financière très saine
>L’endettement est faible : la dette est de 283€/habitant contre une moyenne de 844€/habitant pour les communes comparables.
>L’épargne de gestion annelle est importante : 1.2 M€ pour un budget de 6.4 M€.
>Des investissements sont possibles, grâce à un excédent global de clôture supérieur à 5 M€.
>Les charges de personnel et les achats et charges externes sont maîtrisés : 613€/habitant contre 781€/habitant pour les communes comparables.
>Les taux d’imposition locaux sont inchangés depuis 2011 et inférieurs à ceux des communes comparables : 14% contre 15,2% pour la taxe d’habitation, 15,8% contre 20,9% pour le foncier bâti.
Des contraintes à respecter
Nos recettes dépendent pour partie de facteurs extérieurs.
>Les dotations de l’Etat et autres compensations, 12 % de nos recettes, sont orientées à la baisse, voire vouées à disparaitre.
>76 % de nos recettes sont issus de la fiscalité (l’ex-taxe d’habitation et la taxe foncière, 3,7 M€, sont une ressource stable mais la taxe additionnelle aux droits de mutation, 0,7 M€, est variable).
>12 % des recettes correspondent à la rémunération de services, tels que crèches, garderie scolaire, etc.
Certaines dépenses sont peu compressibles.
>L’entretien des équipements de la commune requiert 0,6 M€ d’investissements annuels.
>Les charges de personnel et externes permettent d’assurer des services indispensables aux St Cyrots (sécurité, enfance, associations, etc.).
Les grands principes qui guideront nos actions
Notre politique budgétaire maîtrisée nous permettra de ne pas augmenter les taux d’imposition communaux, sauf contrainte extérieure majeure et imprévue.
Nous nous engageons à :
>Refuser les dépenses de fonctionnement qui ne seraient pas financées sur la durée.
>Maîtriser la masse salariale.
>Rechercher en permanence les économies (renégociation de contrats, mutualisation des achats, etc.).
>Réserver l’emprunt aux acquisitions foncières significatives et aux investissements pérennes d’importance.
>Commencer un projet seulement si son financement est garanti et en minimiser les coûts pour la commune en recherchant au maximum les subventions.